Ecosystème C.S
Nous ne nous considérons ni comme un laboratoire, ni comme une marque, ni comme un atelier ou une maison de couture, mais comme un écosystème vivant en perpétuel devenir basé sur des réalités physiques et digitales. Un écosystème dans lequel coexistent plusieurs entités, qui ont chacune différentes activités, sont en interactions. À l’image de la structure du système solaire, le modèle de ce système restitué fonctionne comme un appareillage organique, inspiré par la création de l'univers.
***
“ J’envisage mon travail comme quelque chose d’évolutif,
j’ai en tête l’image d’un paysage qui prend forme petit à petit. Tout est en devenir”.
***
“Repenser des nouvelles modalités d’existence de l’artiste, d’un créateur, d’un designer et d’une start-up, s’affranchir des frontières, entremêler les connaissances, les arts, les activités et privilégier l’échange, la collaboration pour entrevoir des horizons vers de nouvelles formes de déploiement et penser leur coexistence à travers de nouveaux schémas d’interactions.
L’ensemble de l'écosystème est construit comme un réseau organique formé de multiples centres, basé sur une réalité physique en extension sur un horizon virtuel au potentiel infini.
Par la proposition d’un travail évoluant entre le digital, les nouvelles technologies, les pratiques d'écritures, la danse, la performance et le design vestimentaire, je développe un processus artistique de création convoquant la notation chorégraphique prenant en considération la Nature, la féminité et des territoires extra-terrestriels. »
« Les œuvres numériques conçues, enchevêtrent une perspective où la machine reliée à ce que j’appelle des "mondes-réseaux" virtuels, mettent en valeur des dimensions invisibles, des auras par le biais de la vidéo, l'animation, la performance, l'audiovisuel, les utilisations des machines d'Intelligence Artificielle reconstituant une cosmologie traversant des fictions interstellaires.
Une vision "imaginale" pour construire une œuvre en perpétuelle évolution. »
En dévoilant notre écosystème, notre intention est de susciter des réflexions sur les interactions entre humains et non-humains, les alliages entre divers champs disciplinaires impliquant des ingénieurs, designers, laboratoires, entreprises, etc. Une vision singulière d’un monde de demain où le statut des objets, humains, machines sont considérés comme des entités singulières à part entière et mis sur un même plan ontologique.
***
***
Un parchemin à explorer, des points stellaires, où filent les heures.
Sur ces multiples temporalités, stratifiées,
une invitation atemporelle à parcourir un canevas d’histoires,
de mémoires, de traces, de liens destinés à traverser en poésie
des entrelacs de directions entre quatre voies :
les Arts, la féminité, les nouvelles technologies et la spiritualité.
***
***
Le choix du point.
Parce qu'il n'a ni forme, ni surface, ni superficie…
En reliant, de point en point, en traçant des trajectoires, des lignes, le point offre une ouverture vers des spatialités à multiples entrées, de multiples dimensions dessinant des écritures, des “patterns”, des fenêtres et portails vers des espaces pluriels s’ouvrant tantôt sur un espace immersif en réalité virtuelle, tantôt une porte vers un monde en 3D, ou encore comme point d'entrée vers une exposition phygitale.
Chaque point de l'écosystème C.S est une entrée vers un univers à découvrir.
***
De ce point central et en son cercle rayonnant, une boussole propulse les actions du vaisseau-mère traversant de la Terre, les sphères célestes jusqu’au plus hauts ciels.
Comme une force centrifuge qui nous fait voyager au sein de l'univers de l’artiste, la boussole s’ouvre vers des mouvements cosmiques tels des fenêtres d’expression entraînant les variations d’un logo organique, en pleine morphose
***
La première apparition est celle d’une trilogie stellaire. Des ouvertures lumineuses donneront lieu à l’apparition de sept autres entités parsemant notre ciel de rayonnements filaires. S'entremêlant en une danse cosmique, ces courses d’étoiles gravitent autour du vaisseau-mère.
***
***
La première entité est solis aurae, elle incarne le soleil et est le moteur énergétique alimentant l’ensemble du système. La seconde entité est Lina Shirin Shen et symbolise la lune. Elle vient refléter les activités de solis aurae sur des territoires artistiques et l’emploi de médiums plus large. La troisième entité est le point d'atterrissage. Orion 3000, est une structure web 3.0 disposant d’une galerie virtuelle et visant à soutenir les artistes interdisciplinaires Orion 3000, est une constellation en voie de créer son propre système.
Chaque entité déploie des activités qui leur sont propres et singulières. D’autres entités viendront se greffer à la cosmologie existante avec une teinte attribuée pour chacune.
C’est une évolution projective où chaque entité prend place à travers des lignes en extension, formant des réseaux nodaux dans le système.
L’ensemble se déploie sur des horizons projetés vers l’infini sillonnant parmi des milliers de figures, constellations, formes, agencements, etc. Autrement appelés “réseaux-mondes”, ils peuvent être représentés en de multiples dimensions. L’ensemble de cette cosmologie est reflétée par le système graphique. Les lettres initiales inscrites sur le tampon évolutif du logo apparaissent ou disparaissent selon l’angle d’ouverture de l’écosystème.
solis aurae : “SA”
Lina Shirin Shen : “LS’”
Orion 3000 : “O3”
L’écosystème de Céline Shen déploie des axes de rotations autour de points cardinaux où les entités viennent former l'empreinte de leurs passages.
Chaque entité, par l’exercice de ses différentes activités, peut se loger dans un ou plusieurs de ces points cardinaux en même temps, appelés zones d’extension, formalisées par des points noirs mobiles.
Le Nord incarne l’Aura et le Soleil, les Arts et l’alchimie. L’Ouest ouvre vers la technologie, les arts numériques et l’intelligence artificielle. L’Est représente l’esthétique et la spiritualité. Le Sud nous embarque vers la féminité, la performance et la chorégraphie.
***
***
Sur les chemins d’une cosmologie reconstituée, Céline Shen déploie une architecture telle une toile, qu’elle nomme, « mondes réseaux ». Ces derniers sont des ouvertures vers des portails de mondes virtuels et réels. Le vaisseau-mère abrite en son sein tous ces mondes et d’autres écosystèmes en voie de créations avec lesquels elle pourrait fusionner, interagir, sillonner, danser, etc.Le vaisseau-mère Céline Shen fonctionne comme un écosystème en réseaux.
***
***
Plusieurs entités sont abritées au sein du vaisseau-mère Céline Shen, dont la naissance se fera au fil du temps. Ce vaisseau-mère est la propulsion créative et comme une toile en déploiement, elle formera la genèse de ses entités en mouvement, autonomes et interdépendantes. solis aurae est la première entité révélée, à l’image du globe du feu, le Soleil. Un art artisanal et vestimentaire combiné avec les nouvelles technologies, qui est la source d’énergie rayonnante sur toutes les autres entités du système. Lina Shirin Shen est le second souffle d’une trilogie. En réflection à solis aurae, son essence est la lune. Des créations plastiques, chorégraphiques, textuelles, visuelles et performatives sont le cœur de ce satellite dont l’axe nous relie à la Terre. Orion 3000, collectif visant à soutenir les artistes émergents dans la technologie, est une constellation en voie de créer son propre système.
***
Affiche réalisée par Estelle Vanmalle
***
solis aurae est une entité présente au sein du vaisseau-mère Céline Shen, interrogeant la porosité entre les arts et explorant de nouveaux territoires sensibles. Ses lignes s’étendent vers des créations d'œuvres de design vestimentaire et/ou artisanal combinées à un art poétique du mouvement grâce aux nouvelles technologies. Céline Shen dévoilera pas à pas une cartographie en cinq territoires pour explorer les dimensions invisibles de ce qu’elle appelle “l’aura du vêtement”. Ce premier territoire “Le vêtement consommé” dévoile la première collection intitulée “WARDROBE n°1” venant de la première ligne “HYDRA”, abrité sous solis aurae. Consommé, consumé ; le vêtement s’oublie. Briser l’uniformité de masse en travaillant le détail tel un supplément d’âme. Un bain du ciel pour façonner une éternité inspirée d’une transformation liée à l’infinitude des couches vestimentaires, du visible à l’invisible.
Lina Shirin Shen est la seconde entité révélée, globe consacrée aux Arts où l’on flâne pour redécouvrir, sentir et respirer consciemment toutes les nuances d’atmosphères qui s’entrecroisent, se mêlent, se densifient et forment la matière enchantée de nos espaces. Lina Shirin Shen propose un univers s’exprimant par la vidéo, la photographie, le vêtement, la danse, la musique, la peinture et les arts numériques avec un questionnement emprunt de poésie. L’entité lunaire, Lina Shirin Shen est émettrice des dimensions invisibles des pièces solaires de solis aurae réceptionnées en conscience sur Terre. Un travail instauré pour éveiller l’imagination active de l’observateur, au sein d’un système cosmologique où une danse interstellaire prend le pas.
Orion 3000 est une plateforme web 3.0. célébrant et explorant l'immensité de l'univers à travers l'art numérique. La mission d’O3 est de promouvoir une nouvelle ère d’une intelligence collective embrassant les vastes régions de l’Espace encore méconnues. Composé d'ingénieurs, scientifiques, futuristes et artistes, O3 forme une communauté passionnée de technologies, d'Espace, qui repoussent les limites d’une réflexion géocentrée sur l’espace terrestre. Avec O3 de nouvelles géographies se redessinent. L’horizon stellaire se déplace au-delà des périmètres du système solaire, formant l’éclosion d’une pouponnière de projets artistiques spéculant sur des cultures de mondes à-venir, engagés dans une politique du care environnemental et impulsant des formats innovants de création.
Son ambition est de promouvoir des créations cross-média d'une nouvelle génération d'artistes engagés pour re-panser la Nature que nous habitons, de nouveaux lieux en devenir et nouvelles formes organiques de communautés digitales. L’art de la collaboration par les arts et les sciences, en particulier la technologie, est essentielle pour révolutionner la nature des pratiques et interactions au sein de ce système encore aux prémices de son expansion. La connexion digitale et l’expansion par voie constellaire d’Orion permet d’abriter des espaces de réflexions, d’interactions propices à une synergie créative à l’international pour repousser les frontières terrestrielles grâce à la réalité augmentée (AR), la réalité virtuelle (VR), l'intelligence artificielle (IA) et la métaverse. Des zones et modes d’existences virtuelles multisensorielles sont à défricher pour remodeler les nouveaux artéfacts de demain.
Nous vivons dans une époque dite “générative”, où la naissance de formes hybrides naturelles et artificielles font partie de notre quotidien. La blockchain, l’intelligence artificielle et les machines quantiques, en tant que moteurs-clés de cette ère, révolutionnent déjà par leurs approches nos modes de pensées, nos conditions d’êtres et nos interactions.
Les modèles basés sur des systèmes décentralisés émergent. Une nouvelle génération regroupée sur plusieurs générations construit les paysages des temps à venir. Les notions de communautés, les rapports en société et la place de l’IA colonisent fortement nos espaces de liberté et d'expression, brouillant fortement les frontières de ce qu’on appelait auparavant notre réalité.
Les zones virtuelles et/ou immersives forment les nouveaux espaces architecturaux de ces mondes prochains voguant sur de multitudes de données à la seconde.
Nous ne nous considérons ni comme un laboratoire, ni comme une marque, ni comme un atelier ou une maison de couture, mais comme un écosystème vivant en perpétuel devenir basé sur des réalités physiques et digitales. Un écosystème dans lequel coexistent plusieurs entités, qui ont chacune différentes activités, sont en interactions. À l’image de la structure du système solaire, le modèle de ce système restitué fonctionne comme un appareillage organique, inspiré par la création de l'univers.
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“ J’envisage mon travail comme quelque chose d’évolutif,
j’ai en tête l’image d’un paysage qui prend forme petit à petit. Tout est en devenir”.
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“Repenser des nouvelles modalités d’existence de l’artiste, d’un créateur, d’un designer et d’une start-up, s’affranchir des frontières, entremêler les connaissances, les arts, les activités et privilégier l’échange, la collaboration pour entrevoir des horizons vers de nouvelles formes de déploiement et penser leur coexistence à travers de nouveaux schémas d’interactions.
L’ensemble de l'écosystème est construit comme un réseau organique formé de multiples centres, basé sur une réalité physique en extension sur un horizon virtuel au potentiel infini.
Par la proposition d’un travail évoluant entre le digital, les nouvelles technologies, les pratiques d'écritures, la danse, la performance et le design vestimentaire, je développe un processus artistique de création convoquant la notation chorégraphique prenant en considération la Nature, la féminité et des territoires extra-terrestriels. »
« Les œuvres numériques conçues, enchevêtrent une perspective où la machine reliée à ce que j’appelle des "mondes-réseaux" virtuels, mettent en valeur des dimensions invisibles, des auras par le biais de la vidéo, l'animation, la performance, l'audiovisuel, les utilisations des machines d'Intelligence Artificielle reconstituant une cosmologie traversant des fictions interstellaires.
Une vision "imaginale" pour construire une œuvre en perpétuelle évolution. »
En dévoilant notre écosystème, notre intention est de susciter des réflexions sur les interactions entre humains et non-humains, les alliages entre divers champs disciplinaires impliquant des ingénieurs, designers, laboratoires, entreprises, etc. Une vision singulière d’un monde de demain où le statut des objets, humains, machines sont considérés comme des entités singulières à part entière et mis sur un même plan ontologique.
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Un parchemin à explorer, des points stellaires, où filent les heures.
Sur ces multiples temporalités, stratifiées,
une invitation atemporelle à parcourir un canevas d’histoires,
de mémoires, de traces, de liens destinés à traverser en poésie
des entrelacs de directions entre quatre voies :
les Arts, la féminité, les nouvelles technologies et la spiritualité.
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Le choix du point.
Parce qu'il n'a ni forme, ni surface, ni superficie…
En reliant, de point en point, en traçant des trajectoires, des lignes, le point offre une ouverture vers des spatialités à multiples entrées, de multiples dimensions dessinant des écritures, des “patterns”, des fenêtres et portails vers des espaces pluriels s’ouvrant tantôt sur un espace immersif en réalité virtuelle, tantôt une porte vers un monde en 3D, ou encore comme point d'entrée vers une exposition phygitale.
Chaque point de l'écosystème C.S est une entrée vers un univers à découvrir.
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De ce point central et en son cercle rayonnant, une boussole propulse les actions du vaisseau-mère traversant de la Terre, les sphères célestes jusqu’au plus hauts ciels.
Comme une force centrifuge qui nous fait voyager au sein de l'univers de l’artiste, la boussole s’ouvre vers des mouvements cosmiques tels des fenêtres d’expression entraînant les variations d’un logo organique, en pleine morphose
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La première apparition est celle d’une trilogie stellaire. Des ouvertures lumineuses donneront lieu à l’apparition de sept autres entités parsemant notre ciel de rayonnements filaires. S'entremêlant en une danse cosmique, ces courses d’étoiles gravitent autour du vaisseau-mère.
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La première entité est solis aurae, elle incarne le soleil et est le moteur énergétique alimentant l’ensemble du système. La seconde entité est Lina Shirin Shen et symbolise la lune. Elle vient refléter les activités de solis aurae sur des territoires artistiques et l’emploi de médiums plus large. La troisième entité est le point d'atterrissage. Orion 3000, est une structure web 3.0 disposant d’une galerie virtuelle et visant à soutenir les artistes interdisciplinaires Orion 3000, est une constellation en voie de créer son propre système.
Chaque entité déploie des activités qui leur sont propres et singulières. D’autres entités viendront se greffer à la cosmologie existante avec une teinte attribuée pour chacune.
C’est une évolution projective où chaque entité prend place à travers des lignes en extension, formant des réseaux nodaux dans le système.
L’ensemble se déploie sur des horizons projetés vers l’infini sillonnant parmi des milliers de figures, constellations, formes, agencements, etc. Autrement appelés “réseaux-mondes”, ils peuvent être représentés en de multiples dimensions. L’ensemble de cette cosmologie est reflétée par le système graphique. Les lettres initiales inscrites sur le tampon évolutif du logo apparaissent ou disparaissent selon l’angle d’ouverture de l’écosystème.
solis aurae : “SA”
Lina Shirin Shen : “LS’”
Orion 3000 : “O3”
L’écosystème de Céline Shen déploie des axes de rotations autour de points cardinaux où les entités viennent former l'empreinte de leurs passages.
Chaque entité, par l’exercice de ses différentes activités, peut se loger dans un ou plusieurs de ces points cardinaux en même temps, appelés zones d’extension, formalisées par des points noirs mobiles.
Le Nord incarne l’Aura et le Soleil, les Arts et l’alchimie. L’Ouest ouvre vers la technologie, les arts numériques et l’intelligence artificielle. L’Est représente l’esthétique et la spiritualité. Le Sud nous embarque vers la féminité, la performance et la chorégraphie.
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Sur les chemins d’une cosmologie reconstituée, Céline Shen déploie une architecture telle une toile, qu’elle nomme, « mondes réseaux ». Ces derniers sont des ouvertures vers des portails de mondes virtuels et réels. Le vaisseau-mère abrite en son sein tous ces mondes et d’autres écosystèmes en voie de créations avec lesquels elle pourrait fusionner, interagir, sillonner, danser, etc.Le vaisseau-mère Céline Shen fonctionne comme un écosystème en réseaux.
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Plusieurs entités sont abritées au sein du vaisseau-mère Céline Shen, dont la naissance se fera au fil du temps. Ce vaisseau-mère est la propulsion créative et comme une toile en déploiement, elle formera la genèse de ses entités en mouvement, autonomes et interdépendantes. solis aurae est la première entité révélée, à l’image du globe du feu, le Soleil. Un art artisanal et vestimentaire combiné avec les nouvelles technologies, qui est la source d’énergie rayonnante sur toutes les autres entités du système. Lina Shirin Shen est le second souffle d’une trilogie. En réflection à solis aurae, son essence est la lune. Des créations plastiques, chorégraphiques, textuelles, visuelles et performatives sont le cœur de ce satellite dont l’axe nous relie à la Terre. Orion 3000, collectif visant à soutenir les artistes émergents dans la technologie, est une constellation en voie de créer son propre système.
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Affiche réalisée par Estelle Vanmalle
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solis aurae est une entité présente au sein du vaisseau-mère Céline Shen, interrogeant la porosité entre les arts et explorant de nouveaux territoires sensibles. Ses lignes s’étendent vers des créations d'œuvres de design vestimentaire et/ou artisanal combinées à un art poétique du mouvement grâce aux nouvelles technologies. Céline Shen dévoilera pas à pas une cartographie en cinq territoires pour explorer les dimensions invisibles de ce qu’elle appelle “l’aura du vêtement”. Ce premier territoire “Le vêtement consommé” dévoile la première collection intitulée “WARDROBE n°1” venant de la première ligne “HYDRA”, abrité sous solis aurae. Consommé, consumé ; le vêtement s’oublie. Briser l’uniformité de masse en travaillant le détail tel un supplément d’âme. Un bain du ciel pour façonner une éternité inspirée d’une transformation liée à l’infinitude des couches vestimentaires, du visible à l’invisible.
Lina Shirin Shen est la seconde entité révélée, globe consacrée aux Arts où l’on flâne pour redécouvrir, sentir et respirer consciemment toutes les nuances d’atmosphères qui s’entrecroisent, se mêlent, se densifient et forment la matière enchantée de nos espaces. Lina Shirin Shen propose un univers s’exprimant par la vidéo, la photographie, le vêtement, la danse, la musique, la peinture et les arts numériques avec un questionnement emprunt de poésie. L’entité lunaire, Lina Shirin Shen est émettrice des dimensions invisibles des pièces solaires de solis aurae réceptionnées en conscience sur Terre. Un travail instauré pour éveiller l’imagination active de l’observateur, au sein d’un système cosmologique où une danse interstellaire prend le pas.
Orion 3000 est une plateforme web 3.0. célébrant et explorant l'immensité de l'univers à travers l'art numérique. La mission d’O3 est de promouvoir une nouvelle ère d’une intelligence collective embrassant les vastes régions de l’Espace encore méconnues. Composé d'ingénieurs, scientifiques, futuristes et artistes, O3 forme une communauté passionnée de technologies, d'Espace, qui repoussent les limites d’une réflexion géocentrée sur l’espace terrestre. Avec O3 de nouvelles géographies se redessinent. L’horizon stellaire se déplace au-delà des périmètres du système solaire, formant l’éclosion d’une pouponnière de projets artistiques spéculant sur des cultures de mondes à-venir, engagés dans une politique du care environnemental et impulsant des formats innovants de création.
Son ambition est de promouvoir des créations cross-média d'une nouvelle génération d'artistes engagés pour re-panser la Nature que nous habitons, de nouveaux lieux en devenir et nouvelles formes organiques de communautés digitales. L’art de la collaboration par les arts et les sciences, en particulier la technologie, est essentielle pour révolutionner la nature des pratiques et interactions au sein de ce système encore aux prémices de son expansion. La connexion digitale et l’expansion par voie constellaire d’Orion permet d’abriter des espaces de réflexions, d’interactions propices à une synergie créative à l’international pour repousser les frontières terrestrielles grâce à la réalité augmentée (AR), la réalité virtuelle (VR), l'intelligence artificielle (IA) et la métaverse. Des zones et modes d’existences virtuelles multisensorielles sont à défricher pour remodeler les nouveaux artéfacts de demain.
Nous vivons dans une époque dite “générative”, où la naissance de formes hybrides naturelles et artificielles font partie de notre quotidien. La blockchain, l’intelligence artificielle et les machines quantiques, en tant que moteurs-clés de cette ère, révolutionnent déjà par leurs approches nos modes de pensées, nos conditions d’êtres et nos interactions.
Les modèles basés sur des systèmes décentralisés émergent. Une nouvelle génération regroupée sur plusieurs générations construit les paysages des temps à venir. Les notions de communautés, les rapports en société et la place de l’IA colonisent fortement nos espaces de liberté et d'expression, brouillant fortement les frontières de ce qu’on appelait auparavant notre réalité.
Les zones virtuelles et/ou immersives forment les nouveaux espaces architecturaux de ces mondes prochains voguant sur de multitudes de données à la seconde.